Merzhin a écrit :
Ouais tu parles si tu crois que tu aurait pus lui tailler les oreilles en pointe c'est que tu n'avait pas bien regarder le chevalier en question , je t'ais quand même fait l'honneur de t'être fait avoir par un Duc de lignage feerique.
Madame je ne suit pas la femme de n'importe qui , le probelme vient surtout que tu ne pouvais pas avalez d'avoir trouver plus retord que toi sur ce coup la .
Et puis si je me rapelle bien malgre le fait que je t'avais battue a la regulière je n'ais en aucun cas obliger ton perso a devenir la femme du mien non mais je t'ais laisser libre de faire ce que tu voulais et apparemment ca t'a franchement enerve aussi.
Dans ma mansuetude et ma misericorde je t'ai permis de passer outre ta Geis en gros donc tu etais libre de faire ce que tu voulais .
bah, d'abord pour le regarder, y fallait déjà qu'y soit remarquable et pas insignifiant, le pseudo chevalier brebre !
ça m'fait une sacré belle guibole d'limaginer Duc Féérique ! l'a un zoli titrounet, qu'il est content avec ; mais, un titre, ça nourrit pas les gens et ça ne fait pas marcher un domaine !
y m'semble bien qu'il courrait après son prochain repas, ton oppresseur de canasson, non ?!?...
t'es pas plus retord, t'as juste eut un pot monstrueux !...
et pis, l'aurait plus manqué qu'il s'imagine en droit d'imposer quelque chose, le bougre ! non mais je rêve, là !!!
'videmment qu'elle était libre de faire ce qu'elle voulait la Jirell ; a t'elle un seul instant laissé croire que ce n'était pas le cas ?!?
et pis d'abord, quand tu commences à chauffer une telle, tu la joues pas j'm'en fous dans l'heure suivante ou bien tu t'exposes à une vengeance congelée obligatoire, MÔsieur !...
pour ta gouverne, le gwenounet mignonet, la Jirell n'a jamais eut de Geis (euh !... de toute façon pas celui-là) ! il n'y a que ma mansuétude naturelle qui a pu me pousser à défier ce bretonnant mal embouché, pour qu'il ait au moins un petit fait d'arme à son actif, le pauvre !!
... je vois que ça comme raison (bon d'accord, et aussi sa manière de tortiller du cul avec une épée dans les mains ; mais, là n'est pas la question !)