(Pour ne pas laisser Galardon divaguer, je reprends une version objective de la suite

)
Nous arrivons donc à Brest et nous nous présentons rapidement auprès de notre illustre roi. Celui-ci est fort surpris et suspicieux de retrouver Morvan en parfait état. Un bon discours plus tard, pléthore de cadeaux de Morvan (qui vide les cales que je pensais pleines de "passagers"), et une attention détournée par l'évocation du mariage de Galardon, Nepotianus ne s'intéresse plus qu'à ce dernier et se montre déçu de la fin de ce mariage qui aurait pu permettre à Galardon d'approcher assez le roi vandale pour l'occire. La tension semble toujours importante avec Guyomarch.
Nous rentrons à la maison, moi en tout cas, j'accompagne Morvan vers ma soeur et lui narre une fort belle histoire. Tous les problèmes sont résolus de ce côté. Mes compagnons retournent en Sicile et je m'occupe de ma famille et de mes terres. Tout semble bien se passer. Astregis, les enfants, Gaborn et mes vassaux vont bien. J'installe mes miséreux dans leur nouvel habitat, en bordure des marais. Les actuels occupants sauront bien s'occuper d'eux.
Voyage vers l'Est pour rendre visite à mes vassaux et aller moi-même surveiller Morlaix, mes hommes m'assurant qu'il ne se passe absolument rien sur ses terres. Trop rien, à mon goût. Neoptianus aurait-il perdu son jugement ?
Bon accueil de mon voisin, et j'en profite pour demeurer très attentif. La situation s'avère au final pire que prévu : la conspiration utilise des être fées invisibles pour communiquer en toute discrétion. Comment démasquer les choses, en gardant les mains propres ? Je pars rejoindre mes compagnons qui doivent m'attendre avant d'aller informer mon roi.
Ils ne sont toujours pas revenu ... anormal. Je décide de me rendre sur place.
[à compléter]
=> j'attends la suite...

[Je fais ce que je peux !]
Et c'est ainsi que j'emprunte le pont vers la Sicile, marche un peu et arrive en peu de la villa de Galardon. J'y trouve, établie près de la route, la famille de Galerus au grand complet. Honoria m'annonce la terrible nouvelle : Demetria (la femme numéro 3 ou 4, je ne sais plus trop) de Galardon a été assassinée, sa fille a disparu. Galardon et Galerus se sont mis à sa recherche, voilà une semaine, à pieds. Je fais seller une monture, préparer un paquetage et quelques armes, alors que j'interroge les serviteurs qui viennent de revenir au manoir. C'est ainsi que j'apprends qu'une grande femme blonde au regard fou est la coupable. La description correspond à l'autre femme de Galardon (la numéro 4 ou 5, je ne sais plus, "l'annulée").
Que le Diable emporte Galardon. Ses errances sexuelles ont mené une pauvre femme qui s'était éprise de lui à la folie. Où qu'il passe, les innocentes souffrent. Cet imbécile est encore parti chasser une femme et il n'y aura que malheur et souffrance au bout de la route. Qu'il se débrouille seul, je suis fatigué de le sauver de ses démons. Je passe la soirée et la nuit avec la famille de Galerus. Je discute longuement des affres de Galardon avec Honoria qui partage mon point de vue sur son inconsistance et sa lubricité. Ils finiront bien par rentrer. Je dois aller voir mon épouse et Nepotianus.
Retour en Armorique. Le climat y est plus clément. Petite pluie matinale pour maintenir l'herbe verte. Beau soleil le reste du jour.
Je discute de mes possibilités avec Astregis, puis allons voir Nepotianus dans le plus grand secret. Nous passons une partie de la nuit à discuter avec le roi et la reine du problème Morlaix. Impossible de le prendre sur le fait, difficile d'agir publiquement contre lui. Au final, je propose d'utiliser Morlaix qui a un goût pour la chair fraiche. Si j'arrive à trouver une femme assez jolie et intéressante pour se glisser dans sa couche et qui me soit loyale, un petit filtre bien utilisée pourrait transformer le baron infidèle en simple pion. Avec les bons conseils, nous saurons tout de la conspiration et Morlaix pourra témoigner (avant de finir sa vie dans un monastère). Maintenant, trouver la femme ... Un détour chez mon "ami" Messala s'impose. Le plan en tête, nous nous quittons, je vais devoir me rendre en Bretagne voir Robert, avec Yann qu'il commence son parcours de page.
De retour chez Morvan, j'apprends que Galerus est déjà parti. Je vais devoir faire route avec Galardon, qui, comme à son habitude, se fait attendre. J'allais embarquer sans lui, quand enfin il arrive en ville. Nous partons donc, et lui accompagné de ses anciens esclaves sardes, de son beau-père (le père de Demetria), sa fille et une ruche pleine d'abeilles ! Sur le trajet, il m'annonce vouloir installé tout ce monde sur ses terres bretonnes (celles
gastes, à l'hiver perpétuelle). Il ne semble pas comprendre qu'il les conduit à une mort certaine. Encore plus dérangeant, durant le trajet, Galardon me fait plusieurs avances, de nature explicitement sexuelles. L'homme est devenu définitivement fou. Je passe le reste du voyage à l'éviter et une fois au sol, je prends les devants et n'attends pas sa horde pour me rendre à Sarum.
Sur place, de fort nombreux réfugiés campent devant la ville. Mauvais présage. Je préviens de l'arrivée de la bande de Galardon et vais me présenter à Robert qui reçoit en ce moment un prince saxon et messire
Brastias. Nous pourrons nous entretenir plus tard en privé avec la comtesse et Galardon, qui aura fini par arriver. Quant aux réfugiés, la comtesse s'occupe d'eux et envisage de les répartir sur ses domaines. Il doit être possible d'un persuader un mille ou deux de se mettre à l'abri très loin des saxons, en Armorique.
Le saxon, au nom imprononçable, représente le roi saxon de l'Essex (ce qui est assez loin au final), il doit s'agir de son fils. Il nous fait une proposition : la paix et sa protection en échange d'un tribut annuel de 100 têtes de bétail et de 100 livres d'argent (50 kilogrammes de mémoire). Sinon, la guerre ... Hum ...
Conversation aimable et courtoise. Nous terminons sans le saxon, je propose de payer le temps de se renforcer et de détourner l'attention des saxons. Galardon suggère de refuser et d'affronter les saxons. Je pense que c'est pour lui un moyen de mourir les armes en main pour payer ses fautes.
Sur ce arrive un second saxon. Ils se sont donner rendez-vous. Celui-ci est jeune, bien éduqué, très courtois et parle un parfait kimric. Il est le fils du roi saxon de
Winchester/Hampshire (juste à nos frontière) et transmets l'invitation de son père qui désire discuter. Lui-même restera en otage. Il est décidé d'aller entendre ce qu'il a à nous dire, Galardon et moi-même seront les émissaires du comte. Par ailleurs, nous prenons les dispositions nécessaires pour que les deux saxons ne se croisent pas. Nous partons (enfin, je pars, Galardon me rejoindra plus tard, je n'ai pas eu la patience de l'attendre).
Nous en profitons pour caler notre voyage pour passer la nuit au fort de Camelos, tenu par un bon parti saxon. Nous y sommes cordialement accueilli grâce au sceau royal. Le seigneur local se dit breton. Descendant d'un compagnon de Vortigen revenu de Saxe voilà peu. La place est bien tenue et dispose d'une puissante garnison. Nous reprenons notre route après une nuit tranquille (je me méfie plus d'une tentative de Galardon de pénétrer dans ma chambre que des saxons).
Arrivée à Hampton, bonne ville, très active, forte présence armée saxonne. Le roi Cerdik nous accueille dans toutes les règles de l'hospitalité. Il est le fils de Vortigen et revendique à ce titre le trône et la couronne d'Uther. Il demande le soutien de Robert (et sa vassalité). Il se dit à moitié saxon et à moitié breton. Il semble accommodable et sensible à nos efforts. Nous lui annonçons le rassemblement du Collège Suprême par Ulcius et nous portons volontaire pour porter ses revendications (voilà qui nous coûte peu et semble le satisfaire). Bref, il se dit le seul à pouvoir unifier saxons et bretons et arrêter les guerres incessantes. Il laissera le droit aux peuple d'adorer les dieux qu'ils désirent (bretons, saxons et même chrétiens, bien qu'il semble peu les apprécier). Il laissera les différents peuples appliquer leurs lois et ne revendique pas de terres particulières. Il s'engage à faire cesser les pratiques barbares saxonnes (destructions gratuites, sacrifices humains). Lui pose plus de problème en ce moment, son voisin saxon du Sussex.
Nous retournons à Sarum porteur de ces propositions.
[Voilà, là c'est fini

, il s'est passé pas mal de choses la dernière fois ...]
50 points de gloire pour sire Césaire.