Voici certains de vos souvenirs communs, évoqués lors de la création de vos personnages.
Événements majeurs
— L'usage imprudent d'explosifs dans une galerie a provoqué un éboulement dans lequel a péri le jeune Ricardo. Ceux qui lui étaient proches vous en veulent. Lors de cet accident, Esteban a sauvé Renzo en le dégageant de la roche à la force de ses bras. Renzo lui doit la vie.
— Durant une période de disette, une bande rivale d'esclaves a tenté de voler le repas de nos héros. Esteban a joué du poing pour les mettre en fuite. Vous surnommez depuis ces esclaves les Charognards.
— Une fois, par un coup d'une habileté inouïe (ou beaucoup de pot), la Jota a abattu d'une pierre un oiseau en plein vol. C'est le meilleur repas que vous ayez jamais fait.
— Hector a survécu par miracle au choléra.
— Un jour, la Jota a eu la veine de récupérer les débris d'une vieille lampe qu'il a pu réparer. Depuis, le groupe la chérissait comme son plus précieux trésor : à chaque quart, il la remplissait petit à petit au moyen de quelques gouttes d'huile prélevées sur ses rations avant de la cacher soigneusement. Elle doit toujours vous attendre dans la planque…
Déboires
— Un jour, la Jota a fait tomber un plein chargement de minerai sur les pieds d'un contremaître.
— Un esclave en faute a réussi à profiter de la naïveté d'Esteban pour lui faire porter le chapeau.
— La Jota a été irradié en consommant de l'eau contaminée.
— Il est arrivé qu'Hector et la Jota soient victimes de gardes qui s'ennuyaient : ceux-ci les ont forcés à s’enivrer puis les ont fait se battre l'un contre l'autre (accessoirement, c'est la Jota qui a gagné). Les autres esclaves n'ont pas oublié non plus ce moment et en rient à l'occasion.
Connaissances
— Il paraît que les gardes ont un signe distinctif, une sorte de tatouage. Certains jurent en avoir aperçu dans leur cou.
— Esteban connaît un bon coin à champignons dans une vieille galerie abandonnée.
— Renzo connaît une source d'eau potable.
— Le groupe a appris à reconnaître certains champignons.
— À force d'observation, Esteban a décelé un certain schéma dans la rotation des gardes.
— Depuis qu'il a épié une discussion entre deux gardes sur le sujet, le culte d'Atome fascine Hector.
— La Jota a réussi, une fois, à chiper de la nourriture aux cuisines.
Divers
— Quand Hector est entré dans le groupe, il a d'abord cherché à susciter la pitié des autres.
— Dans une période d'affairement, Esteban a cédé à la pression pour augmenter la production et s'est déchaîné au travail. Cette attitude lui a valu de se distinguer auprès des maîtres, mais les autres esclaves n'ont pas vu cela d'un bon œil.
— Par ses discours, Renzo propage discrètement la sédition parmi les esclaves.
— Renzo nourrit un oiseau.
— Esteban n'a pas compris ce qu'il lui arrivait lorsqu'il s'est pris une décharge électrique d'une vieille batterie.
— Renzo, alors qu'il progressait dans une galerie, a évité de justesse de s'ouvrir le crâne sur un boisage. Il n'a pas oublié ce détail pourtant anodin en apparence car il y soupçonne une intention malveillante.
— Il est déjà arrivé que le groupe se fasse surprendre à un endroit où il ne devait pas être… mais qui des esclaves ne s'est jamais retrouvé dans une telle situation ?
— Hector, d'apparence frêle, aurait bien voulu rester attaché au service des bas fourneaux, avec les femmes et les enfants… En vain.
— Un des gardes a Esteban à la bonne. Esteban connaît même son nom : Miguel.
— Jusqu'à tout récemment, la Jota et Renzo jouissaient d'un certain confort la nuit, sous la tente : en s'étant arrogé les places près du bas fourneau, ils profitaient de sa chaleur.
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